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Musée Dior

Publié le par Aimela

 

 Il y a quelques années ,j 'ai eu l'occasion de visiter la villa "Les Rhumbs" , maison d'enfance de Christian Dior sur les hauteurs de Granville ainsi que le "jardin" Tout y est clinquant même les bornes où l'on peut humer les parfums qu'il a créé. Le seul qui m'est plu est un parfum pour homme, ceux des femmes sont entêtants. Dans un petit coin retiré, il existe une roseraie qui est bien charmante. Dans le musée, des collections de robes que Dior a crée dans sa vie Pour les admiratrices de Dior, voilà sa maison à défaut des collections.

Villa "Les Rhumbs"

A Granville, en Normandie, non loin du Mont St Michel, la maison d'enfance de Christian Dior se dresse sur la falaise, face aux îles Anglo-Normandes.

Construite par l'armateur Beust à la fin du XIXè siècle, la villa Les Rhumbs doit son nom au terme de marine désignant les trente-deux divisions de la rose des vents, symbole qui figure dans une mosaïque ornant le sol d'une des entrées de la maison.

Les parents de Christian Dior acquièrent en 1905 cette maison bourgeoise agrémentée d'un jardin d'hiver, sise au sein d'un parc protecteur.

Christian Dior affectionne particulièrement ce lieu. Il écrira dans son autobiographie « Christian Dior et moi » : « la maison de mon enfance ...  j'en garde le souvenir le plus tendre et le plus émerveillé. Que dis-je ? ma vie, mon style, doivent presque tout à sa situation et à son architecture ».

Lorsqu'en 1932, peu après la mort de Madeleine Dior, le père industriel est ruiné par la crise, la propriété est mise en vente. Achetée par la ville de Granville, son jardin sera ouvert au public dès 1938.

Publié dans Normandie

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Rendez nous la liberté

Publié le par Aimela

 

Rendez nous la liberté

 

Écrire sur un poème a demandé l'animatrice, c'est désirable

Devant ces propositions je ne sais pas, je deviens misérable

Je n'ai nul désir pour les châteaux, les richesses, je les délaisse

Jamais devant les bateaux luxueux et les palaces je ne m'abaisse

Désir de beauté , je n'en ai que faire, j'en suis déjà pourvue

Au diable les chirurgiens esthétiques pour eux c'est foutu

L'amour avec un grand A , s'y j'y ai déjà songé un temps

Cela fait longtemps qu'ils se sont mis d'accord pour foutre le camp

Le mariage, les enfants , c'est bien fini, j'en ai eu ma dose

Alors quel désir est naturellement une question que je me pose

Et pourtant dans dans tout ce fatras de désirs il y en a un présent

Un seul qui me tient à cœur et que l'on m'a retiré, saleté de président

Toi et ta clique sous le couvert de pandémie tu m'as enlevé ma liberté

Enfermé chez soi, plus de rencontres, plus de sorties tout est retiré

Pour nous apeurer encore plus nous avons des journaux mortifères

Qui comptent matins jusqu'au soir les cas pour garder la muselière

Pour la liberté, ces fils de saloperie nous a promis une piqûre

Qui fera plus de morts que de guéris mais ils en ont cure

Ils veulent moins de monde sur terre , pour eux enfin la sinécure

J'ai vu dans leurs jeux macabres et je ne me laisserai pas faire

C'est debout que je resterai et pour rien au monde on ne me fera pas taire

Ils faut que vous sachiez messieurs les censeurs que vous êtes puérils

Vous croyez que tous nous vivons de la peur du péril

Un jour la vérité se lèvera et vous ne pourrez plus vous cacher

Cela ne sera pas en bande mais tous ensemble que l'on ira vous chercher

Vous serez jugés, emprisonnés à vie pour traîtrise à la nation

Jamais au grand jamais nous vous accorderons le pardon

Rendez nous la liberté et ce n'est pas un désir mais une injonction

Les peuples refuseront pour toujours vos pathétiques manipulations

 

 

Publié dans poésies et slams

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